Article tiré du Ouest France d'aujourd'hui
Manif etudiantes : ce n'était pas le CPE
Encore quelques défilés et blocages, mais on sent bien que la contestation s'essoufle. Retour sur un mouvement trop coupé de l'opinion pour réussir.
Analyse :
Etudiants, lycéens, blocages... LEs manifestations des dernières semaines ressemblaient fore au combat anti-COE, le contrat premiere embauche de 2005. Mais la réalité d'aujourd'hui est différente. En 2005, certains avaient rêvé de peseer sur la présidentielle à venir, empêcher l'election de Nicolas Sarkozy, changer le monde. On a l'ompression, qu'en 2007, ils ont voulu reprendre l'histoire où elle s'est arrêtée il y a deux ans, faire chuter le président de la république. C'était faire peu de cas de la démocratie.
Ce déni des règles républicaines s'est concrétisé dans des pratiques non respectueuses du choix du plus grand nombre.
Le décalage avec 2005 vient surtout des fondations fragiles de la contestation. Lors du CPE et ses deux avs d'embauche à l'essai, symbole d'une institutionnalisation de la précarité, le "non" avait, d'emblée, traversé une classe d'age er cimenté une bonne part de l'opinion.On n'a jamais senti cette trainée de poudre en 2007, contre la nouvelle loi sur l'autonomie des universités. Au contraire : même avec des défauts, la loi Pécresse apparait pour beaucoup comme un moyyen de réveiller la vénérable vieille dame universitaire française.
Coupé de l'opinion, cherchant en vain des liens avec le reste du corps social, le mouvement s'est peu à peu rendermé sur son noyau. Mais les jeunes doivent etre écoutés. Une fois de plus, ils ont dit "Nous existons, nous cherchons notre place dans la société, l'avenir nous fait peur et nous doutons du monde que vous nous laissez."
Ces interrogations sont toujours là. CPE en 2005, LRU en 2007, elles dépassent le cadre d'une simple loi.
Gilles KERDREUX
Mon avis :
Encore une fois on se fait descendre dans les journaux. Est ce que vous avez vu une seule fois un mot de soutient dans la presse envers notre mouvement ? Ou au moins quelque chose qui ne discédite pas le mouvement ? Moi non.
Aujourd'hui les rédacteurs de journaux sont pourris par les politiques et essaye de rentré dans les faveurs de Srako.
Je pense qu'il ne faut pas que l'on baisse les bras !!!
La plus part d'entre nous n'a pas voté cette année, parce qu'ils étaient trop jeune, et les autres l'on fait mais les voix des jeunes sont encore en inferiorité. Il faut qu'on leur montre qui nous sommes et ce que nous voulons. Ils prennent des décisions pour nous sans nous consulter et bien c'est a leur risque et prérile.
Nous sommes et resterons la, on est pas content, et on va leur faire savoir vu qu'ils ne veulent pas le dire au monde entier on va le faire pour eux.
Encore un petit mot sur la démocratie. il n'y a plus de vraie démocratie en france. Elle n'a jamais été respecté par les politiques en premier pourquoi nous ne suiverions pas leur chemin histoire de tout remettre en ordre ??
Bon week end à tous et ne baissez pas les bras !!
L'admin